Tract distribué à Toulouse le 22 novembre 2014.
« Rémi n’est pas le seul. N’oublions pas touTEs les autres victimes. Celles dont on parle moins et qui font moins de bruit. »
Les trans’, les gouines, les biEs et les pédales contre la flicaille !
Tract distribué à Toulouse le 22 novembre 2014.
« Rémi n’est pas le seul. N’oublions pas touTEs les autres victimes. Celles dont on parle moins et qui font moins de bruit. »
Les trans’, les gouines, les biEs et les pédales contre la flicaille !
Au nom de la critique de la technologie, un certain nombre d’idées commencent à circuler dans les revues libertaires qui ont de moins en moins avoir avec la PMA et de plus en plus avoir avec des fantasmes sur la PMA… et sur le féminisme. Voici le top 5 des idées incongrues qui circulent aujourd’hui sur la Procréation médicale assistée (PMA).
Fragments du livre “Cuba. Depuis la Révolution de 1959″ de Samuel Farber, publiés en décembre 2011 sur le site HAVANA TIMES.
Même si les femmes cubaines n’ont pas été autorisées à s’organiser de façon indépendante pour articuler et défendre leurs intérêts, elles bénéficièrent de différentes manières du processus révolutionnaire. Certaines formes de sexisme patriarcal ont été affaibli, comme le pouvoir des hommes au foyer.
Le 21 mars 2009, Lovelle Mixon a tiré sur cinq officiers de police, en tuant quatre avant d’être elle-même tuée dans la fusillade. A Oakland, nous voyons le tissu de la normalité capitaliste être déchiré en lambeaux. Des cas quotidiens de violence raciste de la police sont transformés en rupture et balancés au visage de nos oppresseurs.
L’émission On est pas des Cadeaux parle des conditions de détentions en prison pour les Transpédégouines.
Cette réclusion qui concerne actuellement 70.000 personnes dans les prisons françaises. La prison est un des moyens utilisés par l’état, pour gérer les populations les plus pauvres. Aujourd’hui, il nous paraît important de dénoncer le traitement que subissent les prisonnières trans, pédé, gouines, mais nous sommes en solidarité avec l’ensemble des détenus. Car, enfermer les gens pour les accompagner vers la réinsertion, est pour nous une aberration. Donc oui, en effet nous sommes A-BO-LI-TIO-NISTES, point barre.
Dans le sillage des études et des mouvements queer, les identités sexuelles n’ont jamais autant fait l’épreuve d’une attention et d’une élaboration critique. Il est désormais d’usage de critiquer un mouvement gay et lesbien mainstream, de débattre ou de chercher à élargir les coalitions lesbiennes, gay, bi, trans (LGBT), ou encore de proposer une refondation queer des politiques sexuelles. Rosemary Hennessy propose ici de s’appuyer sur l’approche marxiste des besoins sociaux pour reconceptualiser les liens entre identités et rapports sociaux. Elle fait l’hypothèse d’une refondation marxiste et féministe des politiques sexuelles, appuyé sur la pluralité et l’étendue des besoins réprimés par le capitalisme.
L’horrible engeance. Couple banal. Mal mariés : qu’est-ce qu’ils ont à faire ensemble, pédés et gouines, puisqu’ils ne veulent pas se faire l’amour ?
Ça n’avait donc rien d’évident, cette association. Les pédés passent pour misogynes, c’est connu. Ils ont le culte de la bite et de la virilité. Ah, les femmes, les affreuses, les rancunières, celles qui nous volent nos hommes…
à Saint-Nicolas-du-Chardonnet, photo trouvé sur sur Internet.
« L’art n’est rien d’autre que de la masturbation, mais parfois c’est si bon. »
Anglophone ? Vous pouvez lire un article sur cette histoire de « mariage gay » et sur la situation des femmes, homos et trans en Egypte sur Tahrir-ICN.
Dans la Sissicratie, la répression à l’encontre des opposants au régime, des activistes ou des homosexuels se poursuit de plus belle. Articles issus des mass-médias.
Cet article (qui laisse trop peu de place à la parole des premières concernées) est issu d’un mass média canadien, il a été publié le 16 octobre 2014.
Je le publie ici loin de toute considération sur la parentalité, pour informer sur ce système où des femmes pauvres se retrouvent à faire des enfants pour des couples riches, qu’ils soient hétéros ou homos.
Publié par la revue Contretemps.
Marxisme et théorie queer. D’où viennent les tensions entre ces deux traditions ? Y a-t-il une opposition irréductible entre totalité sociale et points de vues situés ? Comment penser la réification du désir comme celle du travail en général, et en termes matérialistes et historiques ? Kevin Floyd, professeur au département d’anglais de l’Université d’État de Kent dans l’Ohio, est l’auteur de The Reification of Desire. Toward a Queer Marxism récemment traduit en français par les éditions Amsterdam (La réification du désir, 2013).
Avec ce genre de (fausse) polémique, le FN manifeste à la fois son ouverture et son côté réactionnaire à propos de l’homosexualité, les médias lgbt s’empressent de relayer les photos et les tweets des gays frontistes qui seront, demain (et oui, la France est un peu à la traîne), l’incarnation de cette nouvelle (extrême) droite à la sauce hollandaise, tolérante à l’égard des homos pour mieux affirmer sa haine des musulmans qu’elle présente comme étant tous rétrogrades, sexistes et homophobes. Déjà, des individus et des associations adhèrent… Homonationalisme et islamophobie font bon ménage !
Après certaines éminences du Vatican, après les flics et les politiciens, si les PDG s’y mettent… je vais y retourner, moi, au placard !
Informations issues de la propagande bourgeoise people.
C’est désormais un lieu commun de parler de « l’embourgeoisement » d’une partie des gays et lesbiennes. Face à cette identité lesbienne/gay traditionnelle, mise en crise par le néolibéralisme, émergent de nouvelles figures transgenres et queer. Ces évolutions méritent d’être historicisées. Peter Drucker passe ici ces transformations au crible du matérialisme historique. Des nouvelles relations butch/femme au SM, en passant par la culture « clone » et « lipstick », le postfordisme a produit une culture LGBT à la fois variée et polarisée par les inégalités sociales. Drucker en tire ici les conséquences stratégiques pour des politiques sexuelles émancipatrices.
Pour toi, le mariage et l’adoption pour les couples homosexuels représentent des avancées ou une conformation à la norme hétérosexuelle ?
Nous sommes contre l’homosexualité comme nous sommes contre l’hétérosexualité ; ce sont des mots qui ne prennent une réalité que dans un contexte social déterminé ; il faut détruire ce contexte social et les mots n’auront plus de sens. Il en va de même pour les rapports hommes-femmes pour la famille et pour la notion de pouvoir : nous sommes contre quiconque prétend prendre le pouvoir, de quelque idéologie qu’il se réclame ; le pouvoir n’est pas à prendre, c’est la notion de pouvoir qui est à détruire.
Octobre 1997. Je grille le train. Je me fais jeter dans ce bled. Je croise trois gars balaises. C’est ma fête. Coups de poing. Coups de pied. Coups de bite. Et maintenant je fais quoi ?